Vie pratique & Conseils Santé

Anomalies du cholestérol et des triglycérides : comprendre, prévenir et agir

15/09/2025
12min
Actualité
Anomalies du cholestérol et des triglycérides : comprendre, prévenir et agir
Index

Qu’est-ce que le cholestérol et à quoi sert-il ?

Quelles sont les causes d’un taux de cholestérol élevé ?

Quels sont les symptômes d’un excès de cholestérol ?

Comment mesurer et interpréter son taux de cholestérol ?

Quels sont les risques d’un excès de cholestérol ou de triglycérides ?

Quels sont les traitements contre l’hypercholestérolémie ?

Prévention et réduction du cholestérol : les bons réflexes à adopter

Alimentation et cholestérol : que faut-il manger ou éviter ?

Quel taux de cholestérol est inquiétant ?

Quand faut-il consulter un médecin ?

Libr’Alerte, un allié de confiance pour votre sécurité cardiovasculaire

Questions fréquentes sur le cholestérol

Votre dernier bilan lipidique affiche un taux de cholestérol élevé ? Vous n’êtes pas seul. En France, plusieurs millions de personnes présentent une hypercholestérolémie sans même en connaître les effets. Et pourtant, un excès de cholestérol LDL, associé à des triglycérides trop hauts, favorise la formation de plaques d’athérome sur la paroi des artères. Résultat : un risque accru d’infarctus, d’AVC, d’artérite. Silencieuse, mais bien réelle, cette anomalie lipidique peut devenir un facteur déclencheur de maladies cardiovasculaires graves. Mais bonne nouvelle : il est possible d’agir.

Dans cet article, nous faisons le point sur les rôles du cholestérol, les différences entre HDL et LDL, les causes d’un déséquilibre lipidique et les moyens concrets de réduire les niveaux trop élevés. Alimentation, activité physique, traitement médicamenteux, prévention… tout commence par la connaissance

Qu’est-ce que le cholestérol et à quoi sert-il ?

Le cholestérol est une substance grasse indispensable à notre organisme. Il participe à la construction des membranes cellulaires, à la production de certaines hormones, de la vitamine D et des acides biliaires. Environ 70 % du cholestérol est produit par l’organisme lui-même, principalement par le foie, lors d’un processus appelé synthèse du cholestérol. Le reste provient de l’alimentation.

Il circule dans le sang sous forme de lipoprotéines :

  • LDL-cholestérol, ou « mauvais cholestérol » : il transporte le cholestérol vers les cellules, mais peut s’accumuler dans les artères s’il est trop élevé.
  • HDL-cholestérol, ou « bon cholestérol » : il récupère l’excès de cholestérol dans les tissus pour l’éliminer via le foie.

Un déséquilibre entre les deux peut entraîner l’athérosclérose, une obstruction progressive des artères.

Autre graisse circulante à surveiller : les triglycérides. Produits par le foie à partir du sucre et des graisses en excès, ils servent de réserve énergétique. Mais à taux élevé, ils augmentent le risque cardiovasculaire, en particulier lorsqu’ils sont associés à un faible taux de HDL.

Type de lipide Rôle Risques en cas de déséquilibre
HDL (bon cholestérol) Ramène le cholestérol vers le foie Trop bas : protection cardiovasculaire affaiblie
LDL (mauvais cholestérol) Dépose le cholestérol dans les artères Trop élevé : athérosclérose, AVC, infarctus
Triglycérides Stockent l’énergie sous forme de graisse dans l’organisme Trop élevé : risque cardiovasculaire accru, pancréatite

Quelles sont les causes d’un taux de cholestérol élevé ?

Un taux élevé de cholestérol ne résulte pas d’un seul facteur, mais d’un ensemble d’influences génétiques, alimentaires, hormonales et comportementales. Certaines causes sont modifiables, d’autres non, mais toutes méritent d’être connues pour mieux prévenir les risques.

Les facteurs modifiables :

  • Une alimentation trop riche en graisses saturées (charcuterie, fromage, produits industriels)
  • Une consommation excessive de sucres rapides (sodas, pâtisseries…)
  • Un excès d’alcool, surtout en cas de triglycérides élevés
  • La sédentarité et le manque d’activité physique
  • Le surpoids abdominal ou l’obésité
  • Le tabagisme actif ou passif
  • Certaines maladies : diabète de type 2, hypothyroïdie, insuffisance rénale
  • Certains médicaments : corticoïdes, bêtabloquants, contraceptifs oraux, rétinoïdes

Les facteurs non modifiables :

  • L’hérédité, en particulier en cas d’hypercholestérolémie familiale
  • L’âge (le risque augmente avec les années)
  • Le sexe (risque plus précoce chez les hommes, après la ménopause chez les femmes)
  • Les antécédents familiaux de maladies cardiovasculaires précoces

L’hypercholestérolémie familiale : un cas à ne pas négliger

Cette forme génétique d’hypercholestérolémie touche environ 1 personne sur 300 en France. Elle se caractérise par un taux très élevé de LDL dès l’enfance, parfois supérieur à 2,50 g/L, et un risque cardiovasculaire fortement accru dès 30 ou 40 ans si aucun traitement n’est mis en place.

Elle est souvent découverte à l’occasion d’un accident cardiaque dans la famille ou d’un dépistage précoce chez les enfants d’un parent atteint.

Signes d’alerte possibles :

  • Antécédents précoces d’infarctus dans la famille
  • Xanthélasmas (dépôts de cholestérol au coin des yeux)
  • Taux de cholestérol LDL très élevé dès l’adolescence

Quels sont les symptômes d’un excès de cholestérol ?

Le principal danger de l’hypercholestérolémie, c’est qu’elle agit en silence. Contrairement à d’autres troubles de santé, un excès de cholestérol ne provoque généralement aucun symptôme visible au quotidien. C’est pourquoi on le surnomme parfois « l’ennemi invisible ».

Pendant des années, un taux élevé peut passer inaperçu, tout en endommageant peu à peu les artères. Ce n’est qu’à l’occasion d’un événement grave (infarctus, AVC, artérite…) que l’on découvre l’anomalie. D’où l’importance d’un dépistage régulier, même en l’absence de signe d’alerte.

Quelques manifestations possibles en cas de déséquilibre lipidique important :

  • Apparition de xanthélasmas (petites plaques jaunes autour des paupières)
  • Dépôts graisseux visibles sous la peau (xanthomes, souvent sur les tendons d’Achille ou les genoux)
  • Douleurs thoraciques ou essoufflement à l’effort (si une artère coronaire est déjà partiellement obstruée)
  • Engourdissements ou douleurs dans les jambes (artérite des membres inférieurs)

Comment mesurer et interpréter son taux de cholestérol ?

L’interprétation d’un bilan lipidique ne repose pas uniquement sur les chiffres : elle dépend de votre profil de risque cardiovasculaire global (âge, tabac, diabète, hypertension, antécédents familiaux…). Ainsi, une personne à risque élevé devra viser des taux plus bas qu’une personne sans facteur de risque.

Repères généraux pour un bilan lipidique :

Paramètre Valeur souhaitée*
Cholestérol total < 2 g/L (ou < 5,2 mmol/L)
LDL-cholestérol < 1,6 g/L (voire < 1 g/L en cas de risque cardiovasculaire élevé)
HDL-cholestérol > 0,4 g/L chez l’homme / > 0,5 g/L chez la femme
Triglycérides < 1,5 g/L (ou < 1,7 mmol/L)
Rapport cholestérol total / HDL Idéalement < 4

Ces valeurs peuvent varier selon le contexte médical et les recommandations de votre médecin traitant.

Quels sont les risques d’un excès de cholestérol ou de triglycérides ?

Lorsque le cholestérol LDL ou les triglycérides s’accumulent dans le sang, ils favorisent la formation de plaques d’athérome sur les parois des artères. Ce phénomène, appelé athérosclérose, rétrécit les vaisseaux sanguins, freine la circulation et augmente fortement le risque de complications cardiovasculaires.

Principales complications liées à un excès de cholestérol :

  • Infarctus du myocarde : en cas d’obstruction d’une artère coronaire
  • Accident vasculaire cérébral (AVC) : en cas de blocage d’une artère cérébrale
  • Artérite des membres inférieurs : douleurs à la marche, risque d’ischémie
  • Angine de poitrine (angor) : douleurs thoraciques liées à une mauvaise oxygénation du cœur
  • Hypertension artérielle aggravée : due à une circulation sanguine plus difficile

Les organes les plus exposés

Le cholestérol en excès n’agit pas de manière uniforme sur l’organisme. Il cible prioritairement les zones dans lesquelles le débit sanguin est crucial.

Organes à risque :

  • Le cœur : risque d’infarctus
  • Le cerveau : risque d’AVC
  • Les jambes : artérite, douleurs à l’effort
  • Les reins : dégradation possible de la fonction rénale
  • Les yeux : dépôt dans la rétine en cas de dyslipidémie sévère

Quels sont les traitements contre l’hypercholestérolémie ?

Lorsque les mesures hygiéno-diététiques ne suffisent pas ou lorsque le risque cardiovasculaire est élevé, un traitement médicamenteux peut être prescrit pour normaliser le taux de cholestérol. L’objectif : réduire le LDL-cholestérol et limiter la progression de l’athérosclérose.

Traitement non médicamenteux : la base indispensable

Avant tout, les médecins recommandent de :

  • Rééquilibrer l’alimentation (moins de graisses saturées, plus de fibres et d’oméga-3)
  • Augmenter l’activité physique (marche, yoga, gymnastique douce)
  • Arrêter de fumer
  • Perdre du poids si nécessaire
  • Modérer la consommation d’alcool
  • Surveiller la tension artérielle et la glycémie

Ces mesures sont à poursuivre même en cas de traitement médicamenteux.

Médicaments pour faire baisser le cholestérol

Les principales classes utilisées :

Classe de médicament Mode d’action Quand les utiliser ? Effets secondaires possibles
Statines Inhibent la production de cholestérol par le foie Traitement de première intention Douleurs musculaires, troubles digestifs
Fibrates Agissent surtout sur les triglycérides Si triglycérides très élevés Risque de troubles hépatiques, myopathies
Ézétimibe Réduit l’absorption du cholestérol intestinal En complément d’une statine Bien toléré
Inhibiteurs PCSK9 Anticorps injectables qui augmentent l’élimination du LDL Formes sévères ou échec des autres traitements Coût élevé, injection sous-cutanée
Résines chélatrices Piègent le cholestérol dans l’intestin Rarement utilisées en première ligne Troubles digestifs

Important : Le choix du traitement dépend du profil de risque cardiovasculaire global, du niveau de LDL à atteindre, et de la tolérance individuelle.

Un traitement sur-mesure, à surveiller dans le temps

La réponse au traitement est évaluée après 6 à 12 semaines via un nouveau bilan lipidique. En fonction des résultats, le médecin peut ajuster la dose ou associer plusieurs médicaments.

L’adhésion au traitement est essentielle. Un suivi régulier permet d’en mesurer l’efficacité, mais aussi de prévenir les effets indésirables.

Prévention et réduction du cholestérol : les bons réflexes à adopter

Pour prévenir un excès de cholestérol, ou le faire baisser, la première ligne d’action repose sur l’hygiène de vie. Même en présence d’un terrain génétique, des changements simples peuvent porter leurs fruits dès les premières semaines.

Voici des gestes essentiels à adopter :

  • Réduire les graisses saturées (beurre, charcuterie, produits industriels)
  • Privilégier les fibres solubles (flocons d’avoine, légumes secs, fruits frais)
  • Bouger au moins 30 minutes par jour
  • Éviter le tabac et limiter l’alcool, notamment en cas de triglycérides élevés
  • Surveiller son poids, sa tension et sa glycémie

Même une baisse de 10 à 20% du LDL peut déjà réduire significativement le risque cardiovasculaire

Alimentation et cholestérol : que faut-il manger ou éviter ?

L’alimentation joue un rôle central dans la régulation du cholestérol. Bien plus qu’un simple régime sans gras, il s’agit d’adopter un régime alimentaire intelligent, en favorisant les nutriments protecteurs et en limitant ceux qui nuisent à vos artères.

cholestérol que manger ?

Les meilleurs aliments pour faire baisser le cholestérol

Certains aliments aident naturellement à réduire le LDL ou à augmenter le HDL. En les intégrant dans vos repas quotidiens, vous améliorez votre profil lipidique de manière durable.

À privilégier :

  • L’huile d’olive et de colza : riches en acides gras mono-insaturés protecteurs
  • Les poissons gras (sardine, maquereau, saumon) : source d’oméga-3
  • Les fruits secs oléagineux non salés : amandes, noix, noisettes
  • L’avoine et l’orge : riches en bêta-glucanes qui réduisent l’absorption du cholestérol
  • Les légumineuses : pois chiches, lentilles, haricots rouges
  • Les légumes verts et les fruits frais : pour leurs fibres et antioxydants
  • Les avocats : pour leurs bonnes graisses et leur effet sur le LDL
  • Les graines de lin, chia ou tournesol

Les aliments à éviter en cas de cholestérol élevé

Certaines graisses et préparations favorisent l’accumulation de cholestérol LDL et doivent être limitées, voire évitées.

À limiter ou proscrire :

  • Les graisses saturées : beurre, crème, charcuterie, fromage
  • Les plats industriels ultra-transformés (pizzas, biscuits, plats cuisinés)
  • Les fritures et panures industrielles
  • Les pâtisseries, viennoiseries, sucreries à base de graisses hydrogénées
  • Les viandes grasses (côte de bœuf, agneau, saucisses)
  • Les sodas et jus sucrés, surtout en cas de triglycérides élevés
  • L’alcool en excès

Fruits secs : les bons et les faux amis

Tous les fruits secs ne se valent pas. Certains sont excellents pour le cœur, d’autres sont trompeurs et trop riches.

À consommer (avec modération) À éviter
Amandes, noix, noisettes Arachides grillées salées
Pistaches nature Noix de cajou caramélisées
Noix du Brésil Mélanges apéritifs transformés
Graines de courge Fruits confits très sucrés

Quel taux de cholestérol est inquiétant ?

Il n’existe pas un seul taux « normal » valable pour tout le monde. L’interprétation d’un bilan lipidique dépend du niveau de risque cardiovasculaire de chaque personne : âge, antécédents, diabète, tabac, hypertension, etc.

Cela dit, certains seuils servent de repères généraux à ne pas dépasser.

H3 Les repères à connaître

Tableau indicatif des valeurs cibles (hors contexte médical spécifique) :

Paramètre Valeur souhaitée
Cholestérol total < 2 g/L (ou < 5,2 mmol/L)
LDL-cholestérol < 1,6 g/L (ou < 4,1 mmol/L), voire < 1 g/L en cas de risque élevé
HDL-cholestérol > 0,4 g/L chez l’homme / > 0,5 g/L chez la femme
Triglycérides < 1,5 g/L (ou < 1,7 mmol/L)
Rapport cholestérol total / HDL Idéalement < 4

Ces valeurs peuvent être adaptées selon les recommandations de votre médecin.

À quel moment faut-il s’inquiéter ?

  • Si votre LDL dépasse 1,6 g/L, surtout en cas de diabète ou d’hypertension
  • Si votre HDL est trop bas : moins de 0,35 g/L
  • Si vos triglycérides dépassent 2 g/L, en particulier chez les hommes de plus de 50 ans
  • Si votre rapport cholestérol total / HDL est supérieur à 5

En cas de doute, une consultation médicale est essentielle. Le médecin tiendra compte de votre état général, de votre mode de vie et de vos antécédents pour définir votre niveau de risque.

Quand faut-il consulter un médecin ?

Même en l'absence de symptômes, il est essentiel de ne pas attendre une complication pour agir. Un simple bilan lipidique permet de repérer un excès de cholestérol à temps et d’adopter les bonnes mesures.

Situations où une consultation est fortement recommandée

  • Vous avez des antécédents familiaux de maladies cardiovasculaires précoces (infarctus, AVC, artérite)
  • Vous souffrez de diabète, d’hypertension ou d’obésité
  • Vous êtes fumeur ou ancien fumeur
  • Vous avez plus de 50 ans (hommes) ou plus de 60 ans (femmes)
  • Vous présentez des signes suspects : essoufflement à l’effort, douleurs thoraciques, xanthélasmas…

Prévention active : mieux vaut anticiper

Même si vous vous sentez en forme, un bilan de cholestérol peut être utile dès 40 ans, surtout en présence de facteurs de risque. En cas d’anomalie, le médecin vous proposera des solutions adaptées : conseils alimentaires, activité physique, suivi régulier, voire traitement médicamenteux

Et parce que la prévention ne se limite pas à l’alimentation ou aux médicaments, certaines situations méritent un soutien plus concret au quotidien, notamment pour les personnes âgées ou isolées.

Libr’Alerte, un allié de confiance pour votre sécurité cardiovasculaire

Quand on parle de cholestérol, on pense souvent prévention, alimentation équilibrée, médicaments. Mais on oublie trop souvent l’importance d’un environnement sécurisé, particulièrement pour les personnes âgées ou fragilisées par des antécédents de santé.

Chez Libr’Alerte, nous avons conçu des solutions de téléassistance adaptées à chaque profil, pour permettre à chacun de vivre sereinement, sans renoncer à son autonomie.

En quoi nos dispositifs peuvent-ils vous aider ?

  • En détectant rapidement un malaise ou une chute, souvent liés à des troubles cardiovasculaires
  • En permettant une alerte immédiate, même sans téléphone à portée de main
  • En reliant l’utilisateur à une équipe disponible 24h/24 et 7j/7, prête à agir
  • En rassurant les proches, qui savent qu’en cas d’urgence, tout est sous contrôle

Qu’il s’agisse d’un bracelet détecteur, d’une montre connectée ou d’un bouton d’appel discret, nos offres s’adaptent à votre quotidien. Et grâce au crédit d’impôt de 50%, la tranquillité d’esprit reste accessible à tous.

Parce que protéger son cœur, c’est aussi protéger sa vie.

Questions fréquentes sur le cholestérol

Quelle est la différence entre cholestérol alimentaire et cholestérol sanguin ?

Le cholestérol alimentaire est celui que vous consommez (œufs, abats, crustacés). Le cholestérol sanguin est celui mesuré dans votre sang. Il est majoritairement produit par votre foie. Une mauvaise alimentation peut l’aggraver, mais il existe aussi des causes génétiques.

Une personne mince peut-elle avoir trop de cholestérol ?

Oui. Même en l’absence de surpoids, des facteurs héréditaires ou hormonaux peuvent entraîner un excès de cholestérol. Seule une prise de sang permet de le savoir.

Le cholestérol peut-il baisser sans médicament ?

Oui, surtout en cas d’excès modéré. Une alimentation adaptée, une activité physique régulière et l’arrêt du tabac peuvent suffire. Mais si le risque est élevé, un traitement peut être nécessaire en complément.

Pourquoi faut-il parfois traiter même sans symptôme ?

Parce que le cholestérol agit en silence. Attendre les symptômes revient à attendre l’accident. Le traitement permet d’agir préventivement et de protéger vos artères avant qu’elles ne soient abîmées.

À partir de quel âge faut-il faire un bilan lipidique ?

Il est conseillé de faire un premier bilan vers 40 ans si vous avez des facteurs de risque, et dès 20 ans en cas d’antécédents familiaux. Ensuite, un suivi tous les 3 à 5 ans suffit, sauf avis médical contraire.

Voir l'article précédent
Remonter en haut de page
Comment pouvons-nous vous aider ?
Merci de cocher le captcha pour pouvoir continuer
Ou en complétant ce formulaire :
Les champs avec * sont obligatoires.
Envoi en cours...
Votre demande a été envoyée.
Nous vous recontacterons très vite
Oops! Something went wrong while submitting the form.
Comment pouvons-nous vous aider ?
Nous vous rappelons gratuitement.
Les champs avec * sont obligatoires.
1 - Êtes-vous déjà Bénéficiaire Libr'Alerte ? *
2 - Comment pouvons-nous vous aider ? *
2 - Expliquez-nous vos besoins *
3 - À propos de vous *
J'envoie ma demande
Envoi en cours...
Votre demande a été envoyée.
Nous vous recontacterons très vite
Oops! Something went wrong while submitting the form.